En tournée à l’intérieur du pays pour toucher la réalité et informer les populations sur des réformes entreprises au sein de son département, le ministre de la Justice du gouvernement de transition, Alphonse Charles Wright, peut jouer pleinement le rôle d’un Premier ministre. Si cette hypothèse était une éventualité pour le président de la transition, elle marquerait un tournant important pour notre pays, qui traverse actuellement une période de transition démocratique.
Depuis son arrivée au gouvernement, le ministre de la Justice a su se faire remarquer par sa volonté de mettre en place des réformes ambitieuses pour renforcer la justice et lutter contre la corruption. Il a notamment proposé des mesures pour améliorer l’accès à la justice pour tous les citoyens, ainsi que pour renforcer la transparence et la responsabilité des magistrats.
Ces réformes ont été saluées par les experts en droit, qui soulignent « la détermination et la compétence du ministre Charles Wright ». « Mais c’est surtout sa capacité à rassembler les différents courants d’opinions qui lui a valu cette réputation d’un cadre incontesté », poursuivent ses admirateurs.
Et d’ajouter : qu’il a su faire preuve d’un sens d’écoute et de la concertation remarquable. Cette capacité va dans le sens à fédérer les énergies pour une transition réussie, et est sans doute l’une des principales qualités qui font de lui un Premier ministrable crédible.
Par Abdoul Soumah
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