Successivement, le Premier ministre Kassory Fofana a reçu ce vendredi 20 septembre, les différentes centrales syndicales du pays afin de discuter sur des sujets de préoccupations nationales. Si Amadou Diallo de la CNTG a été d’autant réservé sur le sujet du jour. L’autre fraction USTG version Abdoulaye Sow, s’est peu dévoilée concernant la nécessité d’instaurer le dialogue pour qu’il ait la paix. (Récit de notre reporter Dian Bah !) Vidéo !
« Pour qu’il ait la paix dans un pays, il faut le dialogue, ceux qui n’aiment pas le dialogue n’aiment pas la paix. Même nos parents par le passé, vous savez, ils résolvaient tous les problèmes sur l’arbre à palabre, ils faisaient pour trouver la solution. Mais celui qui s’écarte de cela, il n’aime pas la paix. Nous sommes venus en tant que centrale syndicale, évoquez l’USTG.
Nous avons évoqué nos préoccupations. (…) c’est que sur le terrain nous sommes persécutés, on nous a barré la route avec des gendarmes et des policiers au port de Conakry. On a refusé que nous figurions sur la liste officielle pour aller à Genève.
Aujourd’hui vous savez ce qui s’est passé à Mamou, la loi L028, concernant la fonction publique et les enseignants, a été votée sans aucune forme de consultation. Et les commanditaires de tout ça, disent que nous sommes contre le gouvernement, nous ne sommes pas une centrale contre le gouvernement. Nous ne sommes pas contre le gouvernement. Mais nous sommes une centrale responsable, autonome, capable d’apprécier l’ensemble des problèmes qui se posent au pays et de proposer des solutions (…) », affirme le secrétaire général de l’autre fraction USTG, Abdoulaye Sow.